14 Octobre
Tout pouvoir m ‘a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez et enseignez toutes les nations. Matthieu 28, v.18 à 20
L’appel du missionnaire se fonde sur l’ordre souverain de Jésus-Christ, et non sur les besoins du monde païen. Nous regardons volontiers au Seigneur comme à celui qui peut nous assister dans l’œuvre que nous accomplissons pour Dieu. Mais il se présente comme celui qui exerce un pouvoir absolu sur ses disciples. Il ne dit pas que les païens seront perdus si nous n’allons pas vers eux; il dit simplement: ” Allez, et enseignez toutes les nations. ” Allez, parce que vous êtes convaincus de ma souveraineté; enseignez et prêchez en étant animés par l’Esprit de vie que vous recevez de MOI.
” Alors les onze disciples allèrent sur la montagne que Jésus leur avait désignée. ” (v. 16). Si je veux connaître la souveraineté universelle de Christ, il faut que je prenne le temps d’adorer Celui dont je porte le nom. ” Venez à moi ” c’est alors que nous rencontrons Jésus. Êtes-vous fatigués et chargés ? Il y a tant de missionnaires qui le sont ! ” Venez à moi. ” Nous réservons ces paroles merveilleuses du Souverain du monde pour la fin d’une réunion d’appel, alors qu’elles sont adressées par Jésus à ses disciples !
“Allez…”, dit Jésus. Cela veut dire simplement : “Vivez !” Actes 1 , v. 8, nous dit comment obéir à cet ordre. Jésus n’a pas dit: ” Allez à Jérusalem, et en Judée, et en Samarie “, mais: ” Vous serez mes témoins ” dans ces divers lieux. Il se charge lui-même de nous montrer où il faut aller.
“Si vous demeurez en moi et que mes paroles demeurent en vous…”, voilà comment nous vivons Pour aller de l’avant. Où que Dieu nous place, c’est lui qui nous dirige.
“Je ne craindrai rien…”: voilà comment tenir ferme, et marcher jusqu’au bout.
Je suis attérée littéralement de lire la Lettre intitulée : Mon sacrifice est-il vivant ?
Il n’est question que de mort, de sacrifice à Dieu. Vivre le sacrifice de Jésus.
Mais au XXI è siècle c’est pas possible d’entendre encore des choses pareilles.
Dieu c’est la vie, Jésus c’est l’amour.
La seule mort dont il est question dans le message christique, c’est celle de l’égo.
Allez-vous l’entendre un jour ?
Il ne demande rien d’autre que de nous aimer (en commençant par Soi, pour ne voir
en l’autre que le reflet de Soi).
Marre, re-marre d’entendre toujours les
vieux prêchis-prêchas qui ont fait fuir tous les croyants des églises.
Jésus est vivant, de grâce descendez-le de la croix. Cette image mortifère c’est tout ce que
l’église à transmis depuis 2000 ans. Ca suffit !!!!!
Arrêtez de résumer le message du Christ à sa croix !!!!!
Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende…Vous vous rappelez !!! Relisez
si ce n’est pas le cas….Jésus a accepté sa croix comme témoignage ultime de sa totale
soumission au Père. Soyez humble, ne vous prenez pas pour Jésus. Travaillez à réduire
le superflu en vous. A faire grandir votre joie, et votre amour pour la VIE !!!
Bonjour Ida,
Merci pour votre message.
Si vous lisez l’ensemble de nos pensées, vous verrez qu’on ne parle pas “que” de la mort (qui de toute façon est notre destinée sur terre, à tous).
Néanmoins, la mort et la sanction des cieux est à mettre en balance avec tous les bienfaits que Dieu nous apporte tout au long de notre vie, sur terre comme aux cieux.
Il n’est pas imaginable de concevoir une société sans sanctions (ce serait l’anarchie, la violence gratuite et la loi du plus fort qui régneraient en maître). Ni une société sans “mort”, qu’adviendrait-il de la terre si chaque nouvel individu biologique était éternel ?
Il faut donc trouver le juste équilibre, dans nos pensées, entre ces différentes approches complémentaires et indispensables de nos vies, biologiques ainsi que spirituelles.
Désolé si cette pensée vous a chagrinée, mais les sujets sont importants, et on ne peut les mettre sous le tapis en s’interdisant de les aborder. Tout en trouvant l’équilibre entre les aspects positifs et négatifs de nos réflexions de “mortels” (désolé à nouveau) … :)
Que Dieu vous bénisse pour vos meilleures intentions à l’égard de vos prochains !
Frédéric.